« La société occidentale, durant le vingtième siècle a apporté beaucoup : production de biens, de services grâce à l’industrialisation, progrès techniques et technologiques avec des répercutions sur la santé, l’éducation, le confort… mais les années quatre vingt ont vu apparaître en marge de celles-ci des problématiques non résolues à ce jour :

A°) Un processus de rupture de lien social, de désaffiliation, de chômage répété et de longue durée, d’emplois précaires, d’instabilité familiale, d’isolation sociale, de misère, d’exclusion.

B°) La corruption de notre terre, de l’air, l’atmosphère, l’eau …

La Terre, notre planète, va mal, elle est malade et c’est de notre faute.

De nombreux scientiques s'accordent sur lefait que les températires moyennes pourraient encore augmenter de 1,4 à 5,8°c à l'horizon 2100 par rapport à 1990 : les conséquences pourraient être considérable : désertification, innondations, disséminations de maladies, disparistions d'espaces animales et végétales.....

 

Aussi, les habitants des pays riches, consomment et gaspillent énormément : Aujourd’hui, on ne fait même plus la différence entre envie et besoin.

Consommer toujours plus, c’est piller toujours plus les ressources naturelles que la planète a mis des millions d’années à créer (air, eau, océans, forêts, terres cultivables, biodiversité, pétrole), et qui ne se renouvellent pas assez vite pour satisfaire la demande croissante…

Rejeter toujours plus de pollutions et de déchets… notre environnement commence à être saturé…

Cette situation ne peut pas durer : les catastrophes écologiques et sanitaires montrent déjà les limites du système.

Et cela ne va faire que s’aggraver : la Terre compte 6 milliards d’habitants ; en 2050, nous serons 3 milliards de plus.

Aujourd’hui, la grande majorité de l’humanité vit toujours dans la pauvreté. Des millions de femmes, d’hommes et d’enfants n’ont ni eau potable, ni électricité, ni éducation, ni assez à manger…

Mais si tous les habitants de la terre vivaient comme nous, il faudrait deux planètes supplémentaires pour satisfaire leurs besoins !

 Or, nous n’avons pas de planète de rechange.

Alors, comment améliorer les conditions de vie de tous les citoyens du monde sans épuiser définitivement la Terre ?

Comment satisfaire les besoins des hommes d’aujourd’hui tout en léguant la Terre en bon état aux générations qui l’habiteront après nous ?